Comme chaque année j’ai eu la primeur avec des centaines de personnes de participer à l’inauguration du Salon du chocolat.
L’ambiance commence en haut des marches la Porte de Versailles, Hall 5.
Les gens se pressent avant l’ouverture officielle à 19 h, et certains essayent de profiter des invitations pour deux personnes lorsqu’ils voient des personnes seules.
19 h arrive avec le rush à l’ouverture des portes.
Les amateurs de chocolat commencent par faire la queue au vestiaire et à obtenir les magazines offerts seulement ce soir, contre 2 € (EUR) les jours suivants, pour le grand public.
Les stands des maisons les plus prestigieuses regorgent déjà de monde et contrairement aux premières années du salon, les chocolatiers offrent parcimonieusement un chocolat de leur dernière création.
J’ai eu la primeur de goûter au premier macaron au fromage de JP Hévin, qu’il a sorti pour l’occasion et qui a été commercialisé au moment des fêtes pour surprendre.
C’est un macaron à la coque sucrée dont le centre est fait à partir de quatre fromages différents, comme la déclinaison de ses ganaches au fromage qui avait surpris le monde entier.
Puis chez JC Rochoux, j’ai pu déguster sa ganache à la Havane, très intéressant pour les amateurs de cigare.
Chez un chocolatier suédois, Mälarchocolaterie, j’ai été surprise par une ganache au raifort.
Cette année la Suisse était à l’honneur.
La vache traditionnelle se tenait à l’entrée du corner suisse. Philippe Pascoet nous attendait le vendredi pour nous organiser une dégustation réservée à nos membres.
Il m’a présentée à d’autres chocolatiers suisses, qui viendront au cours de l’année 2009 nous faire découvrir leurs chocolats.
La soirée d’inauguration s’est terminée par le traditionnel défilé de robes en chocolat. Il était retransmis sur des écrans géants pour permettre à chacun de le voir du stand ou de l’allée où il se trouvait.
Comme tout défilé, la robe de mariée clôturait la soirée.
Les jours suivants se ressemblaient mais la bousculade du grand public était évitée le soir de l’inauguration.
A l’année prochaine.
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